Angoissées à l’idée d’être reléguées en seconde zone des mannequins en vogue, les femmes aux poitrines tombantes se lancent à la quête de solutions tant diététiques que chirurgicales. Cet article aborde tous les contours de la ptôse mammaire. Vous y découvrirez les causes, les niveaux de gravité et les solutions attestées.
Un affaissement de la poitrine acquis à la naissance
Certes, il y a certains phénomènes qui favorisent la chute des seins. Mais il est possible de voir sa poitrine tombée bien avant la grossesse. La chute des seins peut être une œuvre d’hérédité. Nous vous invitons à voir ici, plus de détails sur le phénomène. C’est en effet un facteur qui relève d’informations génétiques, notamment celles de la maman, transmises au fœtus durant sa formation.
Un volume trop important des seins
Les experts expliquent que, des seins moyens chez la femme sont évalués entre 250 g et 300 g. Quand cette limite moyenne est dépassée, on parle alors d’hypertrophie mammaire. Cette anomalie volumique conduit selon le cas à une chute des seins, des auréoles et des mamelons.
Une perte de poids
Une perte de poids peut subvenir selon que vous jeûnez, faites du sport ou que vous soyez malade. Mais aussi, après la grossesse. En effet, le poids accumulé lors de la grossesse se dissipe peu à peu après l’accouchement. Cette perte en gramme ne permet pas pour autant de restituer l’aspect initial de la peau qui ayant déjà perdu de son élasticité, ne supporte plus la tension mammaire.
Une variation hormonale
Spécialement pendant la grossesse, les hormones féminines (la prolactine), se charge de stimuler les glandes mammaires à la production du lait maternel. Un flux exubérant de ces substances chimiques vient à se conclure par une surproduction mammaire. Laquelle, par une charge pondérale trop importante de la poitrine, se solde par une extension irréversible de la peau.